L'ambition d'améliorer la quailité des soins médicaux au Gabon est  l'un des sujets de prédilections du CTRI ce, depuis leur prise de pouvoir. Plusieurs mécanismes sont mis en place pour rendre meilleures les conditions de prise en charge des patiens dans les strucures hospitalières publiques. Mais cet objectif est limité dans certains cas.

Il s'avère qu'un fait très important. Il s'agit de celui du manque de spécialistes dans certaines hôpitaux de l'intérieur du pays. Telle est la situation que vivent les populations de la ville du grand blanc, ville dans laquelle l'hôpital régionale est dépourvue de cardiologue. Pour les cas de consultation chez ce spécialiste, les patiens sont dans l'obligation de se rendre à Libreville pour espérer en renconter un.

Un véritable casse-tête pour les populations de l'intérieur du pays

Partir de l'intérieur du pays pour la capitale n'est pas chose aisée lorsqu'il s'agit d'une situation sanitaire. Le protocole présente plusieurs exigences: hébergement, transport... toute une logistique que bon nombre de Gabonais ne sont pas capables de remplir. Les patiens sont souvent confrontés à des difficultés telles que la prise de rendez-vous auprès du secrétariat du médecin, afin de pouvoir se faire consuler. Des rendez-vous lointains car, les dates plus proches sont déjà prises par les patiens qui vivent à la capitale. Il faut donc rallonger son séjour en attendant la date prévue sans prendre le risque  de la rater. Ce qui n'arrange pas souvent les patients venus de l'intérieur , qui ont des marges financières limitées.

Il faudrait donc étre organisé, chose qui n'est malheureusement pas une évidence car dans la plupart du temps la maladie arrive dans l'urgence. Le ministère de la Santé devrait prendre des dispositions afin de faire une repartition équitable dans l'intérêt de tous. Les strucures hospitalières de la capitale compétents plusieurs médecins spécialistes qui peuvent également renforcer les effectifs de l'intérieur du pays. Le serment d'Hippocrate est un serment traditionnellement prêté par les médecins avant de commencer à exercer,  considéré comme l'un des textes fondateurs de la déontologie médicale. 

Aujourd'hui, l'opinion constate que ce serment n'a plus aucune valeur juridique, mais reste un acte symbolique.

 

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